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Macif Santé Prévoyance (Sam Goodchild et Loïs Berrehar) remportent les 48 heures Azimut !

À 10 h 55 min et 28 secondes, Macif Santé Prévoyance a franchi le premier la ligne d’arrivée des 48 Heures Azimut 2025. Il a bouclé le parcours de 307 milles en 1 jour 19 heures, 25 minutes 28 secondes à la moyenne de 7,08 noeuds. Il a parcouru en réalité 357 milles à la moyenne de 8,22 noeuds.

« Le bateau est génial ! »

 Loïs : Nous avons réussi à faire notre route, notre petite mise en place, trouvé nos petits automatismes. Pour nous, c’était trop bien comme course, c’était parfait de pouvoir reprendre le lead, le garder et se régler tous les deux. Moi j’ai passé un super bon moment, une super course, c’est hyper positif.

 Sam : Oui c’était fluide, pas compliqué, les discussions étaient faciles, la prise de décision aussi. On n’a jamais été inquiets, mais frustrés c’est vrai du mauvais départ. Après on est allé gratter des dixièmes de milles et on a réussi à doubler Charal juste après la 2ème marque et Teamwork juste avant donc on est contents mais on n’a jamais stressé. Pour nous c’était la reprise du bateau en double après les chantiers d’été et nos petites vacances en Méditerranée (référence à leur participation à the Ocean Race Europe NDR) donc voilà c’était la reprise en mer avant la Transat Café l’Or qui arrive très vite donc on est super contents de signer une victoire et d’arriver à bien travailler ensemble.

 Lois : Nous avons toujours cru en notre truc, on a profité d’être là, on a été appliqués et ça l’a fait. On a aussi une bonne arme hein ?! Le bateau est quand même assez exceptionnel et c’est cool de réussir à le placer devant.

Sam : Le bateau est génial ! Jean-Yves (Gau, le boat captain)  disait quand il nous a rejoints à bord que c’est la cinquième régate que Macif Santé Prévoyance gagne d’affilée donc c’est quand même une arme incroyable. On l’a pris en main y’a pas si longtemps donc on apprend encore tous les jours. Y’a des choses qu’on a vues sur cette course qu’on n’avait encore jamais vues, on en tire des apprentissages.

Lois : C’est sûr qu’on surveillait pas mal Charal car ils se sont beaucoup entraînés cet hiver et dans toutes les navigations qu’on a pu faire. On a beaucoup été au contact avec eux. Teamwork a aussi super bien navigué. Et puis on a vu aussi un bateau à dérive qui s’appelait aussi Macif à son lancement s’en sortir très bien. Ça montre que dans ces conditions-là, même si on a le dernier foiler, c’est pas forcément gagné d’avance.